Classiques au pupitre – Les trois M

Molière, Marivaux, musset

Adaptation des textes : Louise Doutreligne

Mise en scène : Jean-Luc Paliès

Avec

Catherine Chevallier

Claudine Fiévet

Christine Liétot

Morgane Lombard

Charlotte Vermeil

Valérie Vincent

Xavier Beja

Louis Beyler

Alain Clément

Jean-Pierre Hutinet

Renaud de Manoël

Robert Ohniguian

Jean-Luc Paliès

Vincent Villenave

Le pitch

C’est le désir d’un parcours “classique” sur l’éducation sentimentale de la jeune femme qui traverse les “3M” (Molière, Marivaux, Musset) où nous voyons, Agnès, Silvia, Camille interprétées par une même actrice, évoluer au fil des 3 siècles qui précèdent le nôtre (finissant)… de la farce tragique au drame romantique en passant par la comédie de mœurs. La forme originale choisie du Théâtre au Pupitre permet de suivre, tout en s’appropriant humoristiquement le rituel des concerts, texte, personnages absents ou présents et didascalies pour une plus grande intelligence de ces œuvres si connues, qui nous révèlent pourtant encore le plaisir de surprises.

  • Le Moulin du Roc Scène Nationale de Niort
  • Le Théâtre Luxembourg de Meaux
  • Parc des Capucins et Théâtre de Coulommiers
  • Théâtre St Bénézet
  • Festival d’Avignon
  • Château de Champs
  • Château de la Motte Tilly
  • Chôlet
  • Théâtre le Village Neuilly sur Seine
  • Tournées…

Revue de presse

Ils ont pris le parti de répondre par l’affirmative à trois difficultés fondues en une : le texte sans théâtre mais un air de théâtre quand même. Estrades individuelles, éclairages multiples, angelots évocateurs, accessoires clin d’œil sont autant de traits de maquillage apportés au visage d’une création littéraire constituée par les trois M Molière, Marivaux, Musset… trois évocations historiques de l’art d’aimer.

Daniel Dartigues – La Nouvelle République de Centre Ouest

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Le texte comme la partition des musiciens est posé sur un pupitre face au comédien. Un chef – en l’occurrence le metteur en scène – donne à tour de rôle la parole aux personnages et concentre leur énergie sur le texte. C’est étonnant.

L. R. – Le Courrier de l’Ouest

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Les sept comédiens s’installent derrière de superbes pupitres, décorés d’angelots. Ils ont le texte sous les yeux et le disent comme des musiciens exécuteraient une partition. Les indications scéniques et les transitions sont assurées par le chœur. Et c’est formidable. Avec une économie de moyens physiques quasi totale on reçoit le maximum d’émotions.

Sabine Maillochon – Radio France Vaucluse

Quelques photos