Conversations sur l'infinité des passions

de Louise Doutreligne

Mise en scène : Jean-Luc Paliès

Création 1989 au Festival des Francophonies  à Limoges

Avec

Claudine Fiévet

Jean-Luc Paliès

Costumes : Jacqueline Brochet

Le pitch

A partir de lettres, dialogues, billets galants des XVIIe, XVIIe, XIXe siècles… Dans le feutré du salon, du boudoir, ou de la chambre, autour de l’encrier ou de la plume, mêlés à l’odeur du papier froissé, un homme et une femme traversent le temps – les temps plutôt – où la lettre, et la conversation étaient le mode d’échange le plus doux ou le plus cruel pour les amants. A l’heure de la communication téléphonique, télévidéotique, et réseau… hic… un air de nostalgie viendra nous rappeler comment alors on faisait l’amour avec notre langue française.

  • Espace Noriac, Hôtel Lutetia, Salons SACD, 90e Festival Mondial du Théâtre d’appartemeny, Scène Nationale Sénart

Revue de presse

Une valse à trois temps, un voyage voluptueux au pays de l’amour tragique, du libertinage et du romantisme…

Véronique Blin – Panorama

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Quel plaisir… de se voir inclus dans un cénacle d’initiés… les joutes amoureuses ressemblant, coup après coup, à des tactiques échiquéennes… avec la grâce et la finesse qui seyant à ce genre d’entreprise « hors du temps » et fragile. « Conversations sur l’Infinité des Passions » est un bijou dans son écrin. On peu remercier les ciseleurs de nous en faire profiter.

Pascal Jeannoutot – La Montagne

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Le texte, finement ciselé par Louise Doutreligne, est bâti comme une cathédrale de mots… qui explore au scalpel le discours amoureux des XVII, XVIII et XIX siècles fait l’éloge de la langue Française. Cette ravissante conversation est une expérience rare au plus profond de l’intimité du couple.

Philippe Meunier – L’Humanité

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Une heure trente d’amour à portée des lèvres… Louise Doutreligne crée le fantasme ; Fiévet et Paliès l’envie. Il flotte sur la pièce comme un air de voyeurisme collectif : un homme et une femme… se perdent en érotisme verbal, suscitent et exacerbent le désir. Dieu que c’est bon de goûter à l’immortalité théâtrale !…

L.C. Limoges-Hebdo

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Une grande fresque dans un mouchoir de poche. D’un bout à l’autre ce spectacle est un enchantement pour l’oreille, les yeux et l’esprit. Le ravissement est total. Faut-il ajouter que l’auteur comme le metteur en scène sont aussi d’admirables comédiens…

Jacques Parneix – Le Populaire

Quelques photos