
Ou la représentation Improbable Du Don Juan de Tirso de Molina par les Demoiselles du Collège de Saint-Cyr en l’an 1696
De Louise Doutreligne d’après Tirso de Molina et la correspondance Madame de Maintenon
Traduction espagnole Léonor Galindo Frot
Mise en scène Jean-Luc Paliès
- Scène Nationale de Sénart / La Coupole
- C.D.N. La Métaphore Lille
- Festivals de Motril, D’Almagro
- Festival d’Automne de Madrid
- Festival de Bellac
- C.D.N. La Limousine Limoges
- Café de la Danse Paris
- Cartoucherie Epée de Bois
- Théâtre du Balcon Festival d’Avignon
- Théâtre Luxembourg Meaux
- Le Moulin du Roc Niort
- Palais des Festival Cannes
- Tournées…
Avec
Claudine Fiévet
Léonor Galindo-Frot ou Nadine Berland
Axel Petersen ou Ina Clemente
Mariana Araoz ou Anouche Setbon
Marie-Christine Letort ou Eva Vallejo ou Rose Ruiz
Nathalie Adam ou Nathalie Ortega
Laura Diez del Corral ou Rosario Audras
Marie Llano ou Zazie Delem
Charlotte Pascale Pose ou Ana Benito
Direction du jeu pour la version française Claudine Fievet Version espagnole et assistante pour l'espagnol Léonor Galindo Frot Assistant de direction Thierry Chenavaud Costumes/Décoration Alain Gaucher Lumières François Austerlitz Son/Régie Alain Clement Direction technique Olivier Fosse Conseillers pour l'espagnol José Agost, pour la musique Christian Gaumy Arrangements musicaux des chansons Michel Verschaeve Fabrication des costumes Liliane Delers Habilleuse Sarah Nicolas Régie plateau Renaud de Manoel, Jean-Philippe Lhomme

Le pitch
En 1696 alors que la sévère marquise de Maintenon tient les rênes de l’institution de Saint-Cyr, quelques jeunes filles et leur surveillante sont en train de jouer le premier Don Juan d’un moine espagnol… A moins que ce ne soit la vieille marquise qui rêve… Un vrai renversement peut-être choquant pour débusquer le moteur du désir inavoué
Le teaser
Revue de presse
Rythme soutenu, plages de silence, belle qualité des lumières, appoint musical très pertinent, tout fait de ce spectacle un objet à part, dépaysant, plaisant, instructif, intelligent… C’est souvent l’une des caractéristiques du travail que Louise Doutreligne et Jean-Luc Paliès mènent depuis des années loin du tapage et des modes.
Armelle Héliot – Le Quotidien
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Louise Doutreligne a su enchâsser le drame éternel dans des scènes fraîches et gracieuses dans lesquelles les Demoiselles de Saint-Cyr jouent leurs propres personnages. Aussi, je n’hésite pas à affirmer que son Don Juan d’origine dont je ne saurais trop vous conseiller la lecture – est à la fois original et garanti d’origine.
André Camp – L’avant-scène
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Tour à tour impudiques, audacieuses, amoureuses, éconduites, tendrement dévergondées, vengeresses, elles s’emparent du texte avec une faconde jubilatoire.
Serge Rémy – L’humanité
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Dans les volutes d’un superbe double escalier, les pensionnaires jouent à cache-cache avec leurs personnages et composent un ballet de mots et d’accents passionnés, de soies et de cotonnades qui ravit l’œil et l’esprit. Lumières, costumes, figures tout change toujours en une valse folle et belle.
Emmanuelle Bouchez – Télérama
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L’élégance du texte, l’intelligence de la mise en scène et la fougue savante des actrices conduisent dans un galop vif cette cérémonie du désir et des ambivalences, du trouble et du tabou brisé, de la jeunesse et de la métamorphose de l’amour naissant et de l’amour vieilli.
Gilles Costaz – Politis
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Cette version astucieuse fait la part belle au travestissment. Lumières, costumes, figures, tout change toujours en une valse folle et belle.
Télérama
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Un spectacle d’une telle richesse, si dense. Il y aurait beaucoup à dire : la qualité de toutesces comédiennes… la force de l’escalier qui n’en finit pas de tourner… les inventions sensibles du metteur en scène…
France Inter
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Si vous êtes gourmands de textes, friand de théâtre, allez vous régaler. Tout est fin dans cette représentation.
Delfeil De Ton – Le Nouvel Obs
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Deux Don Juan gracieux, exactement jumeaux disent respectivement en français et en espagnol l’aventure noire du Grand Seigneur méchant homme. Cela se passe dans un constant engouement et une manière d’ingénuité gaie qui fait le sel de l’entreprise.
Jean-Pierre Léonardini – L’humanité
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Joli régal pervers interprété allègrement par une troupe enthousiaste. Ce don Juan là est à voir d’urgence.
Simone Dupuis – L’express
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« Don Juan d’Origine » renouvelle le mythe du séducteur, des jeunes filles s’emparent avec jubilation des rôles masculin, pour donner au français l’âpreté, la densité de la langue originale.
Le Figaro
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Une pièce étonnante, novatrice, secrètement inspirée. On admirera le travail de Louise Doutreligne et du metteur en scène Jean-Luc Paliès. Voilà une excellente trouvaille, aimablement baroquisante. D’où un jeu de miroirs et de dédoublements, ma foi, fort bien venu.
La Croix
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Laissez-vous séduire par l’événement théâtral de ce début de saison. Un élan de fraîcheur s’est abattu sur le théâtre. Elles sont venues, elles ont joué, elles ont vaincu.
Le Parisien
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Rarement une pièce aura réuni autant de talents et un accord parfait entre une écriture, la mise en scène, le décor et la distribution…
La revue du spectacle (Paris)
Quelques photos















