D’après « Les deux timides » et « La grammaire’ d’Eugène Labiche
de Jean-Luc Paliès
Adaptation et mise en scène : Jean-Luc Paliès

Avec
Catherine Goffinet
Henri Lameyre
J.L. Paliès
Isabel Lagelée
Alain Guilio
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Vaudeville en un acte
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Le pitch
Verve de Labiche qui pourfend le bourgeois d’un rire bienveillant. Intrigue. Le mariage. Rupture de la fable et personnages représentatifs d’un monde décadent.
Quelque part en nous tous s’étend une parcelle, zone dangereuse, de refus de l’autre. Clairière sans soleil. Vide. Vide. Timidité…
Une bonne. Sa mémoire. Drôle. Elle se souvient sans juger elle montre sans critiquer. Labiche. Des personnages. Timides. Monolithiques.
Le plein de vide engendre les masques.
Une mégalomanie. Soif du pouvoir.
Un laisser-faire. Laisser dire. Rencontre des caractères. Moteur : l’argent, l’égoïsme, la vanité.
La mise en images et sons utilise plusieurs moyens et styles d’expression théâtrale. Burlesque, tragique, vocal…
Comment cataloguer la mémoire dans un genre théâtral ? Mémoire ouverte du rire critique.

Revue de presse
Une intéressante version et une excellente distribution.
Du comique, des gags burlesques, beaucoup de drôlerie cadencés par le mécanisme des personnages. Jean-Luc Paliès a tenu là un vrai pari : mettre le théâtre de Labiche au diapason de l’actualité. Il y réussit fort bien, par sa mise en scène très précise.
Il faut avoir vu ce spectacle de qualité, devant lequel l’émotion ne peut être indifférente.
Danièle Ronchaud – Le réveil du Val de Marne
Quelques photos






